Jeudi 30 septembre (30 septembre 1875)

Ce matin, visite de Brandt et des Brückner, le premier est très irrité de la paresse des ouvriers, il pleut dans le théâtre, les tringles ont été oubliées, rien que de mauvaises nouvelles! À cela s’ajoute le silence de Munich et la nouvelle que nous ne pourrons sans doute pas nous libérer de Volz et Batz! R. va au théâtre, le soir, nouvelle discussion à la maison.