Catégorie :#countdown1876
Cette nuit, R. me dit à voix très basse : « Chère épouse, la seule que j'ai eue, le seul être qui m'ait compris et qui ait eu pitié de moi. » —Une grande tristesse s'élève en moi ; il ne se passe pas d'heure, je ne vois pas naître…
Voir plusCorrespondance diverse ; R. me lit des passages d'une lettre qu'il écrit à un Américain ; comme il y parle des princes allemands, je lui demande de ne pas l'envoyer, il la déchire avec mauvaise humeur et je me demande si ma remarque valait la peine d'être faite et, d'une…
Voir plusMalgré mes prières, R. ne se laisse pas convaincre de se remettre à sa biographie et dit qu'il a désormais trop peu de loisirs pour cela ; nous insiste sur ses « droits ». R. veut entamer un procès. Nous avons à notre avons à peine fini d'en parler qu'arrive…
Voir plusNous nous occupons de Vienne — hôtel ou « garni » ? — Les Américains tourmentent R. au sujet de la lettre d'acceptation, je suis en désaccord avec chaque mot ; R. fait une grande promenade, il rencontre un ouvrier qui tamise du sable pour faire de la chaux ;…
Voir plusLa nuit et la matinée ont été consacrées à M. Fürstner. R. est très irrité et il se confirme encore une fois qu'il est incapable de faire des affaires, chaque fois qu'il signe un contrat, il est victime d'une trom-perie. L'après-midi, visite tout à fait inattendue de Netty Mrazek, notre…
Voir plusJe passe toute la journée au lit et je vérifie les dépenses de la maison. L'après-midi, lettre de M. Jauner qui nous annonce les exigences extraordinaires de M. Fürstner [1], l'éditeur qui veut recevoir les tantièmes de la nouvelle représentation de Tannhäuser à Vienne. R. en est extrêmement irrité ;…
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