Jeudi 16 septembre (16 september 1875)

Cosima Wagner Journaux

Nous partons de bonne heure pour Aussig, à la gare, quelqu’un m’adresse la parole, c’est Emilie Szierputowska, qui a fermé les yeux de Marie Moukhanoff; suis très émue !… Nous allons à pied à Schreckenstein et nous visitons la chambre où R. écrivit le brouillon de Tannhäuser; belle matinée. À 2 heures, nous partons pour Prague; je reçois l’amie de mon amie; elle me dit combien celle-ci m’a aimée, notre conversation m’émeut beaucoup et je passe toute la nuit sous cette impression; « qui n’a pas vu mourir Marie n’a pas vu quelque chose de grand « .

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