R. me raconte ce qu’il a lu chez Görres au sujet des mirages; si c’est vrai, la reproduction dans les airs de quelque chose de réel est quand même très étrange ! R. me dit que la symphonie en la majeur est, par rapport aux Dionysies, un mirage analogue sur le plan de l’esprit humain. —
Il pleut beaucoup. Nous avons à midi et le soir Mille Weckerlin ; chantera-t-elle Sieglinde ?… M. Unger préfère rester à l’auberge plutôt que de s’installer chez nous ; ce matin cependant, R. était satisfait de sa voix.