Catégorie :Mai 1875
R. me raconte ce qu'il a lu chez Görres au sujet des mirages; si c'est vrai, la reproduction dans les airs de quelque chose de réel est quand même très étrange ! R. me dit que la symphonie en la majeur est, par rapport aux Dionysies, un mirage analogue sur le…
Voir plusJe fais des courses pour Fidi ; R. reçoit une lettre charmante de son vieil ami Chandon; depuis la guerre, nous nous étions abstenus de boire du champagne, mais R. vient d'écrire pour en redemander et son vieil ami lui envoie cette ravissante réponse. R. continue de lire Görres et…
Voir plusR. et moi avons bien des choses à faire. Visite du comte Hohenthal-Buchau. R. commence la « Mystique » de Görres [1] sans y prendre un plaisir particulier; à cette occasion, il revient encore une fois sur la nécessité pour les Allemands de connaître Schopenhauer. L'après-midi, je vais avec le…
Voir plusR. écrit au Roi, je mets de l'ordre dans notre linge, ce qui m'occupe matin et après-midi, car notre précédente gouvernante a tout laissé dans le plus grand désordre. Le soir, quelques amis. M. Rubinstein nous joue la sonate en ut dièse mineur [1]. [1] Opus 27, n° 2, «…
Voir plusJe passe la matinée avec mes livres de comptes et l'après-midi à donner leurs leçons aux enfants… R. reçoit des refus de quelques musiciens (deux harpistes et un altiste); il envoie sa médaille accompagnée de quelques vers à notre ami Feustel. Le soir, je lis Lichtenberg, Richard, Moltke; il trouve…
Voir plusNotre situation est toujours inchangée ; M. Unger lui-même que personne n'estime particulièrement ne montre pas de zèle excessif, il n'est toujours pas là. Nos seules joies nous viennent des enfants, de Fidi en particulier. Je donne aux petites leur leçon de français. Soirée très calme, à la fin je…
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