R. et moi avons bien des choses à faire. Visite du comte Hohenthal-Buchau. R. commence la « Mystique » de Görres [1] sans y prendre un plaisir particulier; à cette occasion, il revient encore une fois sur la nécessité pour les Allemands de connaître Schopenhauer.
L’après-midi, je vais avec le comte au théâtre ; le soir, il est chez nous pour le thé en même temps que M. Unger; celui-ci chantera-t-il Siegfried ??…
[1] Die christliche Mystik (« La Mystique chrétienne »), 4 vol. publiés entre 1836 et 1842 par Joseph Görres (1776-1848), mythologue catholique du romantisme allemand.