Réveil agréable, R. me dit qu’il ne vit plus quand je ne suis pas là, il n’a plus une idée; il n’a même pas fait allumer le gaz. — J’écris une dizaine de lettres dans la soirée ; R. reçoit beaucoup de demandes de la part des Américains et compte finalement sur eux pour remplir sa salle, ce qui n’est pas à l’honneur des Allemands. —
Le soir, quelques amis, nous jouons Le Bal de Berlioz. Le problème de l’hôtel ne nous sort pas de l’esprit l… Lorsque nos invités sont partis, R. me dit : chaque fois que quelqu’un vient nous voir, j’ai l’impression que c’est une absurdité que de recevoir des gens.