Après m’avoir rendu un grand service, Elisabeth Nietzsche nous quitte. Je la conduis à la gare. Je passe l’après-midi à écrire des lettres, à m’occuper de la maison, R. malheureusement ne va pas bien, il a pris froid ; la constitution de l’orchestre lui donne beaucoup de mal. – Le concert à Munich pour le Roi n’a pas lieu, il parait qu’il est souffrant. Le soir, nous essayons de lire Gfrörer, mais je suis trop fatiguée.
Jeudi saint 25 (25 mars 1875)
Cosima Wagner Journaux