R. me dit que je suis comme la gazelle qui attire encore une fois dans la vie l’ermite hindou. Quant à lui, il en a terminé, dit-il. —
Première leçon de piano et de chant des deux petits. Nous sortons après le déjeuner ; je reçois ensuite une lettre de M. Schroetter qui me dit que sa décision est inébranlable. Je me sens envahie d’une profonde mélancolie. Les trois enfants amusent R., jouent avec son bonnet et font toutes sortes de sottises ; nous n’allumons pas de lumière, la lune qui brille après l’orage dont elle vient d’avoir raison et les dernières lueurs du jour nous éclairent ; R. et moi méditons après le départ des enfants; silence!…